Introduction

Dans le contexte d'une consultation vétérinaire en France métropolitaine, la probabilité de faire face à un cas de rage est extrêmement faible. Cependant considérant les conséquences sanitaires majeures, la suspicion clinique de rage doit néanmoins être incluse dans le diagnostic différentiel tant qu'il n'est pas possible de l'exclure.

Les éléments cliniques ET épidémiologiques notamment collectés lors de l'anamnèse permettront au clinicien de cheminer vers une suspicion clinique de la rage. La confirmation de cette suspicion se fera nécessairement par des analyses de laboratoire à partir de l'encéphale prélevé sur le cadavre.